tdnd -- fran fusco
12.07.19 22:03
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♀ fran(cesca) fusco, almost eighteen, senior year at gop, ancienne silver, club d'abstinence -- alice pagani.
rouge carmin et bas résilles, c'est la gamine louve qui pavane dans le quartier au milieu des lascars. la démarche qui tangue et la vulgarité au corps, elle a le vice dans les veines qu'elle s'injecte jusqu'à l'overdose. elle porte son minois angélique avec une hilarante ironie parce que fran n'a rien de la madone. femme objet plus que femme enfant elle patauge entre deux mondes, le précipice sous le nez et le majeur bien relevé. gamine pas bien mature qu'a dû grandir pour survivre avec ce modèle bancal de la mamma turpide. dame qui s'abandonne à la soumission des hommes, arbore le sourire des paumés au plaisir de se faire souiller. mère-môme irresponsable, plus génitrice qu'éducatrice. fran livrée à elle même dans la fosse aux lions se refuse biche mais se veut fauve.
il n'y a que le gamin qui lui soulève le coeur. douceur chérie qu'elle pleure quand la foudre s'abat sur son innocence. c'est qu'il voulait juste faire taire les gémissements de la mère quand en tendant son membre frêle le monstre d'ébène lui a broyé le corps. entre la vie et la mort. fran a la rancoeur amère exacerbée par le cocktail pilule-vodka. les larmes acides, elle crache sur le monde parce que son ange ne peut payer pour leurs péchés à elles. c'est les néons blancs des couloirs qui la transportent jusqu'à cette putain de prayer room. rire jaune elle n'entre que dans l'optique de pisser à raie de jesus et ses pseudos miracles scandaleux. mais c'est les pleurs qui la paralysent et le pacte qu'elle murmure presque insolente - surtout brisée. le gamin se réveille - on lui a choisi la vie.
la cartésienne tire sa révérence et l'honnête honore le pacte. dieu désormais vénéré, fran cherche à se défaire des griffes de satan. elle abandonne le vice, prône la foi pour se repentir de ses péchés, s'adonne à l'abstinence dans l'espoir de se redorer une pureté. c'est une môme chaste qui foule le lycée au retour des vacances. métamorphose déroutante qu'elle traite le menton relevé. mais fran traîne des valises aussi lourdes que le monde, une réputation de libidineuse qu'elle aimait à cultiver. on dit qu'elle joue les saintes mais qu'elle ne restera qu'une salope.
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♀ fran(cesca) fusco, almost eighteen, senior year at gop, ancienne silver, club d'abstinence -- alice pagani.
rouge carmin et bas résilles, c'est la gamine louve qui pavane dans le quartier au milieu des lascars. la démarche qui tangue et la vulgarité au corps, elle a le vice dans les veines qu'elle s'injecte jusqu'à l'overdose. elle porte son minois angélique avec une hilarante ironie parce que fran n'a rien de la madone. femme objet plus que femme enfant elle patauge entre deux mondes, le précipice sous le nez et le majeur bien relevé. gamine pas bien mature qu'a dû grandir pour survivre avec ce modèle bancal de la mamma turpide. dame qui s'abandonne à la soumission des hommes, arbore le sourire des paumés au plaisir de se faire souiller. mère-môme irresponsable, plus génitrice qu'éducatrice. fran livrée à elle même dans la fosse aux lions se refuse biche mais se veut fauve.
il n'y a que le gamin qui lui soulève le coeur. douceur chérie qu'elle pleure quand la foudre s'abat sur son innocence. c'est qu'il voulait juste faire taire les gémissements de la mère quand en tendant son membre frêle le monstre d'ébène lui a broyé le corps. entre la vie et la mort. fran a la rancoeur amère exacerbée par le cocktail pilule-vodka. les larmes acides, elle crache sur le monde parce que son ange ne peut payer pour leurs péchés à elles. c'est les néons blancs des couloirs qui la transportent jusqu'à cette putain de prayer room. rire jaune elle n'entre que dans l'optique de pisser à raie de jesus et ses pseudos miracles scandaleux. mais c'est les pleurs qui la paralysent et le pacte qu'elle murmure presque insolente - surtout brisée. le gamin se réveille - on lui a choisi la vie.
la cartésienne tire sa révérence et l'honnête honore le pacte. dieu désormais vénéré, fran cherche à se défaire des griffes de satan. elle abandonne le vice, prône la foi pour se repentir de ses péchés, s'adonne à l'abstinence dans l'espoir de se redorer une pureté. c'est une môme chaste qui foule le lycée au retour des vacances. métamorphose déroutante qu'elle traite le menton relevé. mais fran traîne des valises aussi lourdes que le monde, une réputation de libidineuse qu'elle aimait à cultiver. on dit qu'elle joue les saintes mais qu'elle ne restera qu'une salope.
Re: tdnd -- fran fusco
01.03.20 15:20

rouge carmin et bas résilles, c'est la gamine louve qui pavane dans le quartier au milieu des lascars. la démarche qui tangue et la vulgarité au corps, elle a le vice dans les veines qu'elle s'injecte jusqu'à l'overdose. elle a bien trop tôt assassiné son innocence, celle qu'on retrouve encore dans les rires cristallins des gosses heureux, en se laissant emporter par cette putain de houle de mauvais choix. la vie naufrage qui l'a conduite à la noyade. dire que fran a su gardé la tête hors de l'eau malgré tous les travers de son existence n'est qu'ineptie parce qu'elle est devenue pro dans l'art du faking it. ses coups d'euphorie ne sont qu'une violente mascarade, suscités par les additifs addictifs. et elle porte son minois angélique avec une hilarante ironie, parce que fran n'a rien de la madone. femme objet plus que femme enfant, elle patauge entre deux mondes, le précipice sous les plantes et le majeur bien relevé. elle était dite bonne avant l'heure sans doute parce qu'elle le désirait avec ses apparences de fille sage et ses allures putassières. pas étonnant qu'ils aient voulu la sauter, les petits mecs du quartier, quand du jour au lendemain elle a sorti la parure complète de la salope. les pulpeuses salaces en prime. elle a tourné avec le consentement des meufs paumées, les limites enterrées sous son désir d'attention. et la jouissance d'être le fantasme des adolescents en rut, de traîner sa réputation de catin, ne résidait pas uniquement entre ses reins mais également dans le fond des rétines de sa mère. fiona, pute détrônée. l'orgasme assuré.
sous ses airs de dame peu farouche, fran reste une gamine pas bien mature qui a dû grandir pour survivre avec ce modèle bancal de la mamma turpide. fiona qui exhibe l'image de cette femme qui s'abandonne à la soumission des hommes tout en jurant de rester cette dominatrice indomptable et qui arbore le sourire des paumés au plaisir de se faire souiller. mère-môme irresponsable, plus génitrice qu'éducatrice, elle s'est retrouvée avec le poids des responsabilités sans jamais véritablement parvenir à le porter. peut-être parce que ça lui est tombée dessus d'un coup et qu'elle a pas su se relever. c'est que fiona s'est trop longtemps reposée sur sa propre mère, dégainant la carte de l'autorité parentale une fois dans l'année. faut croire qu'elle l'a enterré avec elle, son pouvoir décisionnaire. alors fran s'est retrouvée livrée à elle même dans la fosse aux lions qu'a toujours été son ghetto. gamine candide elle a retroussé ses manches - ou du moins raccourci ses jupes - en se refusant biche et devenant fauve.
il n'y a que le gamin qui lui soulève le coeur. nino, douceur chérie qu'elle tente vainement de préserver des affres du monde. plus mère de substitution qu'aînée, elle trouve le moyen de tourner les merdes de leurs existences en une forme de jeu, s'évertue à lui montrer le bon en voilant le mauvais - à la manière de sa nonna quand fran était encore bambin. présente les nuits orageuses elle faire taire les grondements par de douce mélodie, la paume cajoleuse qu'elle ne se connait pas tant. elle lui a montré l'échappatoire aux bruits néfastes, tympans qui résonnent des vieux titres. c'est elle qui lui a pointé le casque comme solution aux gémissements de la mère. c'est elle qui l'a poussé à escalader l'armoire parce qu'elle n'était pas présente quand il a eut besoin d'elle, échappée dans cet ailleurs édulcoré par l'ivresse des corps et de la boisson. c'est finalement elle qui, par son absence, a causé la chute du monstre d'ébène sur son corps frêle. le bruit sourd du bois qui s'écrase contre le sol. et le craquement des côtes d'un gamin de cinq ans.
entre la vie et la mort. ça résonne comme le hurlement de mille harpies, ça la brûle comme l'éruption de pompeii, ça la pique comme un bain d'aiguilles. fran a la rancoeur amère exacerbée par le cocktail pilule-vodka. les larmes acides, elle crache sur le destin, le karma, qu'importe le nom que porte cette salope au myocarde absent. dans sa tête tourne en boucle le réconfort des mots, comme une douloureuse berceuse enregistrée sur une vieille cassette - son ange ne peut payer pour leurs péchés. la vue de fiona chialer comme une merde lui donne la gerbe, mais fran lui concède le fait qu'elle aura au moins eu la décence de ne pas amener avec elle son toy boy de la semaine. elle est assommée, par la fatigue, par le choc, par l'ivresse. si assommée que les néons blancs des couloirs de l'hôpital paraissent lui montrer la voie. et c'est un rire franc de sarcasme qui s'échappe de ses lippes quand elle découvre l'inscription prayer room. fran entre avec une provocation insultante dans l'unique optique d'aller cracher sur la statut auréolée de jesus et ses pseudos miracles scandaleux. mais le silence lourd des peines barre son plexus et dans sa longue avancée elle sent ses muscles doucement la lâcher jusqu'à se paralyser au pied de l'estrade. les sanglots l'emportent alors que le désespoir la porte vers une autre approche. tant qu'à être là autant prier.
on lui a souvent dit que les prières ne devaient pas être faites que selon nos besoins, qu'elles devaient être récurrentes, altruistes. mais fran n'a jamais cru en l'existence d'une entité supérieure jusqu'à ce que l'on la pousse à imaginer qu'une divinité puisse avoir leurs cartes en main. et elle a toujours cru qu'elle finirait par vendre son âme au diable sauf que ce soir là c'est à dieu qu'elle en a fait don. un miracle contre un autre, une promesse aux sonorités de pacte, elle ne demandait qu'une preuve de son existence en épargnant son frère pour se dévouer entièrement à sa cause. un serment qu'elle ne pensait jamais avoir à honorer.
deux jours seulement pour mettre son plan en place. deux jours pour faire son choix. la vie ou la mort. deux jours, puis nino se réveille. il aura choisi la vie - celle de nino, mais celle de francesca aussi.
la cartésienne tire sa révérence et l'honnête honore le pacte. dieu désormais vénéré, fran cherche à se défaire des griffes de satan. elle abandonne le vice, prône la foi pour se repentir de ses péchés, s'adonne à l'abstinence dans l'espoir de se redorer une pureté. c'est une môme chaste qui foule le lycée après trois semaines d'absence. métamorphose déroutante qu'elle traite le menton relevé. mais fran traîne des valises aussi lourdes que le monde, une réputation de libidineuse qu'elle aimait à cultiver. on dit qu'elle joue les saintes mais qu'elle ne restera qu'une salope.
il ne lui a fallut qu'un traumatisme ensanglanté pour la faire dérailler, la pousser tout droit dans ses vieux péchés.
Re: tdnd -- fran fusco
04.04.20 11:50
il ne lui a fallut qu'un traumatisme ensanglanté pour la faire dérailler, la pousser tout droit dans ses vieux péchés. le corps se perd dans l'éphémère de l'oubli ivre, l'obscur se libère de ses chaînes alors que sur ses hanches reste verrouillée sa sainteté ceinture de chasteté. fran, elle s'évade et renoue avec sa copine malsaine, dame excès, en laquelle elle cherche, vainement, à combler un vide et paradoxalement créer le néant. mais dans cette trêve dogmatique elle ne s'octroie aucun écart libidineux par crainte d'attirer la foudre de dieu. parce que derrière ses sourires faussement espiègles fran n'est qu'angoisse et douleur, que dans l'abondance elle se réveille la conscience peu tranquille. elle a peur fran, peur qu'un pas de travers suffise à briser son pacte, se retourne contre elle, contre lui. nino qu'elle ne supporterait pas à nouveau dans une souffrance injuste et injustifiée. et même si son couple dérive, qu'il ne tient plus qu'à un fil, elle ne se pardonnerait jamais d'avoir été celle qui a causé du tord à cet ange tombé du ciel pour illuminer le vétuste de son foyer. pourtant elle en est persuadée fran, d'aimer suffisamment vincze pour tenter de réparer les pots cassés. elle se le dit parfois, qu'elle serait prête à tout pour ne pas le voir lui filer entre les doigts, pour pouvoir encore et encore observer ses iris la toiser comme personne auparavant. tout, mais pas ça.
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