(francke #6) i shouldn't be jealous you aren't mine

elle en rêvait de ce moment, il y a encore quelques semaines elle aurait tué pour vivre ce genre de chose, avoir le droit à ce baiser, goûter ses lèvres qui lui faisaient tellement envie. puis il y a eu tout les évènements, les refus, les déceptions et donc elle s'est rendue à l'évidence fran, elle a fait avec, à tout fait pour enfouir les sentiments qu'elle avait, pour sauver cette amitié qui lui tient tellement à coeur. et là, alors qu'elle va de l'avant, qu'elle a rencontré quelqu'un, qu'elle démarre une relation pour le moment totalement saine, il vient lui voler un baiser. frances ne bouge plus, fixant le brun, voulant comprendre ce geste, savoir si l'alcool parlait, si il se foutait de sa gueule, ou si il y avait une once de sincérité, parce qu'actuellement elle croit rêver. et elle comprends vite qu'il est aussi paumé qu'elle, qu'il a foncé, sans réfléchir, et même si c'est pas une excuse, elle arrive pas à lui en vouloir finalement, parce que c'est lui, et qu'à zeke elle pourrait lui décrocher la lune peut importe son comportement. il a ce magnétisme naturel, ce charisme, ce charme, elle arrive pas à être en colère fran, et pourtant elle aurait toutes les raisons de l'être, parce que bordel elle est en couple. elle n'arrive pas à rire à sa connerie, parce qu'elle est encore sous le choc, aucun mot ne sort, elle ne fait que l'écouter, et il y a de quoi faire, parce que zeke il vide son sac, il se confie, il ouvre son coeur, et c'est tellement rare qu'elle en profite la brune, elle savoure chaque mot, et elle commence à reconstituer le puzzle, à comprendre le pourquoi du comment, mais plus la situation s'éclaircit plus dans sa tête c'est le flou, elle ne sait plus où se baser, et puis y'a sa dernière phrase, la confession de cette envie, et du coup c'est le déclic, elle ne lui laisse pas le temps de la terminer, elle veut plus réfléchir non plus, elle laisse son coeur prendre le dessus sur le cerveau, elle ouvre toutes les vannes, et ce sont ses mains qui viennent se placer de part et d'autre du visage de zeke, puis dans la continuité ce sont ses lèvres qui viennent se poser sur les siennes, et elle lui donne ce baiser, et elle les ressent encore les papillons, et elle ne veut pas le lâcher, alors elle fait durer, parce qu'il n'a pas la même saveur que d'habitude, elle a l'impression de découvrir les lèvres de zeke, dans leurs intégralité. puis elle finit par se reculer, relâcher ses mains, et réaliser son geste mais en aucun cas le regretter, parce que c'est ce qu'elle veut bordel, depuis si longtemps. "t'es con zeke." finit elle par lancer, "mais putain...qu'est-ce que j'aime ça." dit elle un sourire sur ses lèvres.

même s'il se perd dans ses paroles, si c'est le bordel dans sa tête, il se livre zeke plus qu'il ne l'a jamais fait. c'est un effort qui lui pompe plus d'énergie qu'il ne l'aurait imaginé, de trouver les mots qui sauront retranscrire ses pensées. et ce qu'il est nerveux, ce qu'il sent l'angoisse lui monter au fur et à mesure de ses phrases alors que fran ne fait que le regarder. parce qu'il a aucune idée de la manière dont elle va réagir, qu'elle a déjà répondu différemment de ce qu'il espérait face à son baiser. mais à quoi pouvait il s'attendre finalement, quand on sait qu'elle est en couple et qu'elle a déjà souffert de ses sentiments contraints d'être refoulés. c'est qu'il s'est déjà foutu de sa gueule malgré lui en lui rendant son baiser en soirée alors qu'il était loin d'être prêt à affronter l'ombre de ses sentiments pour elle. zeke, il s'en veut à chaque fois qu'il repense à cet instant où il a été incapable de faire face à la situation. que, bourré, il a préféré prendre la fuir plutôt que de continuer une discussion qui ne menait finalement plus nul part tant il était obstiné à se terrer dans le déni. pourtant, il l'a toujours su qu'elle comptait pour lui, qu'il n'imaginait pas sa vie sans elle. et y a son comportement qui est venu à plusieurs reprises trahir son attachement, lorsqu'il s'attaquait à ceux qui osaient l'approcher de trop près. et ça, zeke, il a préféré se dire que ce n'était qu'une forme d'intense amitié, que son côté protecteur n'était lié qu'au fait qu'il la traitait comme sa soeur. une vérité qu'il s'est efforcé de croire, mais qui était bien loin de la réalité. il lui a fallut d'une claque pour prendre conscience de tout ça. il le sait, zeke, que c'est un peu trop tard maintenant. que fran a harry et qu'elle pourrait très bien être heureuse avec lui. qu'il a manqué le coche, mais ce soir il a vu l'ombre d'une ouverture. un bout de porte laissé entrouverte qu'il a défoncé pour pénétrer à l'intérieur au lieu de toquer. et peut-être que ça a marché, peut-être qu'elle lui en voudra pour l'éternité, mais au moins il aura tenté. maintenant face à ses responsabilités, il essaie de se justifier, de trouver comment lui expliquer ce qu'il s'est passé. et il est à bout de mots, à bout de carburant, presque résigné à faire le deuil d'une amitié si chère à son coeur. mais fran, elle vient combler le vide laissé après que ses lèvres aient quitté les siennes. elle vient lui rendre ce baiser comme il l'a si fortement imaginé. et ce que c'est agréable, ce que c'est palpitant de connaître la saveur de ses lèvres en y étant invité, en n'étant pas bourré. zeke, il savoure se baiser qui continue de durer, la main qui vient se loger à l'arrière de son crâne pour mieux s'approcher. c'est bizarre cette sensation qui le prend aux tripes et qui lui procure une impression de voler jusqu'à ce que leurs lèvres se séparent pour la laisser parler. zeke, il lâche un petit rire étouffé parce qu'elle a raison. elle a raison fran, ce qu'il peut être con. stupide, idiot. tout ça, toute cette attente alors qu'il lui suffisait d'ouvrir les yeux pour que cet instant arrive plus tôt. t'aimes que je sois con ou ça ? qu'il demande, le sourire aux lèvres avant de l'embrasser de nouveau, de poser ses pulpeuses sur les siennes, de les décaler sur sa mâchoire à la naissance de son cou pour goûter la saveur de sa peau.

cette soirée c'est un rêve éveillé, elle en profite fran, parce qu'elle ne sait pas si au levé du soleil tout ne sera que souvenir. elle profite de ses lèvres, de sa peau, de son regard, de ce temps suspendu à ses côtés. et c'est à contre coeur qu'elle se détache, parce que oui elle pourrait rester encore de longue minutes à prolonger ce baiser, et elle sent bien son coeur accélérer, à deux doigts de vouloir quitter sa poitrine, sa respiration qui se fait plus rapide, et cette chaleur qui envahie son corps tout entier, des orteils à la racine des cheveux. fran elle est bien avec lui, c'est comme une évidence, comme si tout s'éclairait, elle n'a envie de rien d'autre sur le moment. elle ne peut s'empêcher de lui lancer une petite phrase, une de celles qu'elle a l'habitude de lui dire, mais cette fois ci ce sont les circonstances qui changent, parce qu'il y a cette tension dans l'air, cette attirance quasi magnétique qui flotte entre eux. et elle n'a pas le temps de comprendre sa question, qui n'en est pas une d'ailleurs, parce qu'elle se retrouve de nouveau lèvre contre lèvre avec zeke, elle déguste ce baiser, jusqu'à sentir la bouche du brun dévier, descendant lentement jusqu'à son cou. un frisson parcours le corps de frances, elle vient glisser ses doigts dans les cheveux du jeune homme, savourant ce qu'il est en train de lui offrir. elle murmure son prénom, dans un souffle court, pour lui montrer qu'elle apprécie ce qui est en train de se passer, qu'elle ne veut pas que ça s'arrête, qu'elle en veut plus. alors elle décide de reprendre la main, l'attirant dans le lit avec elle, accrochant ses bras autour de son cou pour avoir de nouveau accès à ses lèvres, un baiser passionné, et elle vient même lui mordre la lèvre en le regardant dans les yeux. "je crois plutôt que j'aime tout de toi zeke..." finit elle par lâcher avant de venir à son tour parcourir de ses lèvres le cou du jeune homme, passant une main sous son tshirt et venant caresser son torse. la température monte dans la chambre, et ce n'est pas pour déplaire à frances.

tout a basculé en un claquement de doigt, la minute d'avant c'est la nervosité qui prime, celle d'après l'envie. parce que s'il a déjà eu l'occasion de goûter à ses lèvres, ces baisers ci ont une toute saveur. zeke, en plus d'être suffisamment sobre pour les apprécier est celui qui est venu les initier. un saut de l'ange vers la crainte du rejet, alors qu'il vient chercher ce qu'il désire tout en sachant que quelqu'un a déjà la main mise dessus. et c'est sans doute ce qui l'a rendu tant hésitant parce qu'il connait fran et qu'il ne l'imagine pas être en couple tout en embrassant quelqu'un d'autre. zeke, c'est celui qui la pousse à la faute et pourtant fran, au lieu de le repousser, elle vient à nouveau chercher le contact de ses lèvres. et ça lui plait à zeke, bien plus que les autres fois, ça lui procure un plaisir insoupçonné de lui être ainsi lié. de voir leur complicité se glisser. il la taquine, la cherche, mais d'une façon bien différente de leurs échanges habituels. parce qu'ils laissent parler leur attirance mutuelle, que le contact de leur peau est bien plus chaud. y a son sourire qui s'écrase contre son cou lorsqu'elle murmure son prénom et son corps qui se retrouve attiré vers le matelas. sur elle, zeke se laisse emporté par son baiser, laissant sa main se glisser le long de sa hanche, ses phalanges chatouillant la douceur de sa peau. et y a son coeur qui manque un battement, ses sourcils qui se froncent imperceptiblement. c'est la panique, l'espace d'un instant, les mots qui le touchent beaucoup plus que ce qu'il aurait cru. il sait pas comment réagir à une telle phrase, incapable de prononcer quoi que ce soit en retour. pourtant, il a conscience que c'est réciproque, que lui aussi aime tout de sa personne. mais c'est le verbe aimer qui vient perturber la mécanique de son corps, de son esprit, de son coeur. ce sont les lèvres de fran venant caresser sur son cou, ses phalanges joueuses contre son torse qui le sort de la houle de ses pensées, le ramène à ce qu'il est en train de se passer. zeke, il laisse sa main glisser le long de son bassin pour rejoindre sa cuisse près de laquelle il se love sans ménage, sur laquelle il marque la trace de son passage. il sent la température monter tout comme ces idées vicieuses qui se logent dans son esprit. dans son regard, l'envie. l'envie de plus qui l'anime toujours dans ces moments là. mais il sait, zeke, qu'avec fran il ne pourra et ne devra pas se comporter comme il l'a toujours fait. alors il se contente de canalyser l'énergie qui grimpe dans son corps, dans ses pulpeuses, dans la ferveur de sa langue. il concentre sur la passion de ses baisers, sur les caresses qu'il se permet de lui donner.

qui aurait cru que tout basculerait aussi vite, le temps de quelques minutes, certainement pas frances, parce qu'en se levant ce matin pour elle la journée serait basique, un train train quotidien auquel elle s'était finalement habituée, mais à l'heure actuelle la seule chose qui hante ses pensées, c'est zeke. son cerveau est en off, déconnecté de cette réalité pourtant si véridique, elle joue l'égoïste pour une fois et ne pense qu'à elle, qu'à son propre plaisir, ce qui lui fait envie. alors elle se laisse aller, ne se ménageant pas, venant découvrir chaque morceau accessible de la peau du brun, du bout de ses lèvres, elle ne veut pas que ça s'arrête, et la tension monte encore d'un cran quand elle sent les doigts de zeke se balader sur sa cuisse, une sensation assez nouvelle pour elle qui lui procure autre chose que des papillons dans le bide, c'est bien dans le bas ventre que ça se situe mais c'est nettement plus agréable et rapidement addictif. elle ne le repousse pas, le laisse faire, elle en veut toujours plus mais tout devient concret et elle panique, parce que frances elle n'est pas bête et l'étape suivante elle l'a connaît, du moins elle sait ce que c'est mais ne l'a pour l'instant jamais expérimenter. et même si elle est dans le feu de l'action, que la fougue des deux la pousse à aller encore plus loin, elle ne veut pas que ça se passe ainsi, sa première fois, et elle sent que zeke le sais, parce qu'il n'essaye pas de forcer la chose, et elle le connaît par coeur, avec une autre il n'aurait pas hésité une seconde. la brune repose ses mains de par et d'autre du visage du jeune homme et vient retrouver ses lèvres pour un énième baiser, "par contre...je suis pas encore prête pour..." dit elle hésitante, elle a peur, peur de tout gâcher, de le vexer, que tout s'arrête brutalement, mais elle préfère imposer ses limites, car même si elle est la plus épanouie ce soir, si les gestes vont trop loin elle sait que tout sera saboté.

il se contrôle zeke, canalise toutes ces pulsions primaires qui l'animent lorsqu'il touche un corps qui l'attire. il tente de contenir son envie, parce qu'il sait que ce serait une première pour fran et qu'il ne sera jamais celui qui ira la forcer à quoi que ce soit. malgré sa propre envie, malgré la fougue qui les habite, il sera toujours respectueux de son rythme. et s'il ne doit se contenter que de l'embrasser, de caresser et marquer la peau qu'elle laisse en libre accès, ainsi soit-il. zeke, on a beau le catégoriser avec préjugé, il n'est pas de ceux qui ne savent pas respecter les limites des femmes avec lesquelles il partage son lit. loin de là. il a grandi dans une ère où le consentement est une cause importante et a été éduqué avec des valeurs auxquelles il ne saurait se soustraire. et malgré la retenue dont il fait preuve ce n'est visiblement pas suffisant puisque fran vient l'informer de sa crainte. crainte qu'il soupçonnait et qu'il ne pensait pas réveiller. parce que zeke, il serait déjà passé à la vitesse supérieure si ça n'avait pas été fran étendue sous son corps. il aurait fait grimper la température bien plus haute s'il n'avait pas été désireux de freiner ses ardeurs. ah non, mais je.. il bredouille, zeke, pas vexé ni frustré, simplement déconcerté de ne pas s'être montré assez circonspect. il réalise que sa paume sur sa cuisse était peut être de trop, que son manque d'expérience est plus important que ce qu'il imaginait. et il ne sait pas bien ce qu'il peut ou ne peut pas se permettre. il est paumé zeke, un brin mal à l'aise, parce que s'il sait s'y prendre lorsqu'il s'agit de laisser parler ses envies, il semble bien moins aisé pour lui de se caler sur un rythme qui n'est pas le sien. malgré l'envie, malgré la volonté. j'ai fait un truc qui fallait pas ? je voulais pas, enfin pas que j'en aurais pas envie, mais je veux pas te brusquer ou quoi.. dans ses prunelles la crainte d'être allé trop loin, de l'avoir offensé ou même braqué. il est à deux doigts de se retirer, de s'éloigner si c'est ce qu'elle désire. parce qu'il ignore tout de ce qu'elle a fait ou pas fait, de ce qui lui est accessible ou non.

elle se sent bien frances, mais elle sent aussi que ses mots ont fait freiner la cadence de zeke, et elle l'entends, dans sa voix, qu'il ne sait plus quoi faire, une montée d'angoisse vient s'emparer du corps de la brune qui ne veut absolument pas que cette soirée, que ce moment, que tout tourne mal. alors elle se redresse, et elle le regarde avec tendresse, parce qu'il a beau être un jeune homme séduisant et sur de lui, sur l'instant là fran elle voit un petit gars perdu, et même si elle n'est pas étonnée, elle est touchée de le voir agir de la sorte à son égard, pour la préserver, la respecter. alors frances elle pose sa main sur la sienne, entrelaçant leurs doigts, "t'es parfait zeke, en tout point, panique pas." qu'elle finit par lui dire, calmement, tendrement. elle veut à tout prix le rassurer, lui faire comprendre que c'est juste elle et ses angoisses, que c'est nouveau, mais qu'elle aime ça. "je suis juste...pas habituée...mais c'est pas toi." lâche t-elle, un sourire posé sur ses lèvres. et parce que les gestes fonctionne mieux que les mots elle vient à nouveau l'embrasser, lui montrer qu'elle accepte tout ce qu'il fait, qu'elle lui fait confiance. puis le baiser se termine et instinctivement, sans rien demander, elle l'entoure de ses bras pour l'enlacer, sa tête lovée dans son cou, elle sent son propre souffle cogner contre la peau du brun, et doucement à l'oreille elle ose, elle lui murmure quelques mots, "tu veux bien dormir avec moi cette nuit ?" une question anodine au vue de ce qu'il se passe entre eux depuis de longues minutes, mais elle veut s'assurer fran, que ce n'est pas terminé, que tout ça ne fait que commencer et que comme cendrillon au douze coups de minuit tout cela ne redeviendra pas poussière.

il ne sait plus vraiment où se mettre, zeke, ni quoi faire de ses mains qui lui semblent être de trop dans son corps. parce qu'il se sentait porté par son élan et qu'il n'ose plus toucher ne serait-ce qu'une parcelle de son corps par crainte de la brusquer. lui d'ordinaire si affirmé, si sûr de lui, se retrouve complètement perdu face à l'inconnu. c'est que c'est tout nouveau pour lui aussi, que cette dynamique même si elle l'enchante l'effraie tout autant. zeke, il tient beaucoup trop à frances pour faire quoi que ce soit qui la mette mal à l'aise, mais sa propre expérience l'empêche de véritablement connaître les limites. c'est à peine s'il se souvient de comment c'était avant, avant qu'il perde son pucelage, quand il n'était encore que novice. et même si elle le rassure, si fran se montre bien plus sereine que lui, zeke, il ne peut s'empêcher de penser que malgré toute la bonne volonté du monde, peut-être qu'il n'est pas le mieux placé pour l'accompagner dans cette aventure. pourtant, il en a envie, il en meurt d'envie. mais lorsqu'il s'agit de fran, c'est la peur qui se loge dans le creux de son estomac et le pousse à douter. ça ne lui ressemble pourtant pas, parce que zeke il s'est toujours vanté de n'avoir aucune frayeur, aucune crainte. fran, elle vient l'embrasser et c'est comme si tout ce qui l'effrayait s'évaporait. alors, quand le baiser s'arrêter, il ose enfin prendre la parole. c'est comme tu le sens. ton rythme est mon rythme. j'te forcerais jamais à faire quoi que ce soit que tu ne désires pas et si par maladresse il m'arrive de franchir une limite, dis le moi. c'est disons.. j'suis pas habitué non plus. faible sourire sur les lèvres, mais pas moins sincère. fran, elle vient clore cette discussion d'une étreinte, laissant son souffle chaud caresser l'épiderme de sa nuque. un brin surpris, zeke l'entoure tout de même de ses bras et vient déposer un baiser sur son crâne lorsqu'elle lui pose une question qui devrait être rhétorique. non non, je vais te laisser dormir toute seule et aller retrouver mon lit. qu'il plaisante en sentant venir le t'es con qui brûle les lèvres de fran. et même si c'est dur, même si l'envie qui l'animait est toujours présente quoi que coupée net par la mise en garde de fran, il s'allonge avec elle. zeke, il l'entoure de ses bras et caresse une dernière fois la peau de son cou de ses pulpeuses avant de chercher le sommeil.